Robert Tiso plays bourèe in Em, by J.S.Bach, with glasses …
» Au XVIIe siècle, la bourrée développe une forme savante qui sera présente dans les bals et au théâtre : de Lully à Rameau, de nombreux opéras et ballets contiennent des bourrées.
Mais sa grande vogue est surtout due à l’intégration du pas de bourrée dans les contredanses du XVIIIe siècle.
Au XIXe siècle, le pas de bourrée se codifie et devient l’un des principaux pas du ballet classique.
Dans la suite de danses, à l’époque baroque, la bourrée fait partie des « galanteries » : danses d’allure populaire pouvant prendre place entre la sarabande et la gigue. Elle est fréquemment associée à la gavotte, au menuet ou au passepied… »